Transition

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    J’ai eu un rendez–vous avec A.S., commissaire d’exposition en résidence au FRAC, pour mes deux projets autour de decollecting. Elle n’est pas emballée par l’approche et considère qu’on ne peut pas fabriquer une collection… ça se défend. Elle viendra quand même animer un workshop de trois jours en septembre sur le dispositif de monstration. Du coup, je vais modifier l’ensemble. Primo, je vais me contenter d’un des deux projets. Celui qui se trouve sacrifié était trop cher et trop lourd. C’était : La Collection sans qualité. L’heureux gagnant est La Collection de respirations. Ça m’arrange d’autant plus que je vais pouvoir investir les efforts consentis dans « Pourvu… ». Secundo, je vais modifier mes demandes de prêts d’œuvres : exit Sol Lewit et Marc Trivier. Tertio, je vais essayer en m’éloignant de l’objet « collection » de trouver d’autres collaborations du côté de Numédiart.

  À ce sujet, j’ai assisté, hier, à Mons au compte rendu de la deuxième vague de projets 2008. Le projet qui m’intéressait est celui de Th. Dubuisson, J.J. Filatriau, T. Todorof et L. Reboursière « Breathing for opera« . Il consiste à mettre au point un système permettant de restituer la respiration d’un chanteur quand il est à l’œuvre. Le projet a deux objectifs : réintégrer la respiration comme composante musicale lors des performances, et servir de base à une approche pédagogique consistant à doter les apprentis chanteurs d’un outil d’observation de leur pratique respiratoire.

    L’option prise par le groupe de chercheurs d’utiliser la Pléthysmographie par extensomètre comme outil de captation m’intéresse particulièrement. On doit pouvoir avec un « étiromètre » et une carte d’acquisition sommaire en fabriquer un à bon compte.

    Le projet deviendrait, une sorte de respiration de textes. Les enfants choisiraient un texte, le liraient, leurs respirations seraient « enregistrées » pendant la lecture. En restitution, les textes seraient affichés, peut-être avec la photo des lecteurs ; et le rythme respiratoire (phase, amplitude) serait restitué par les variations d’intensité lumineuse d’une petite diode montée sur une tige de fer. Il reste à trouver une « collection » de textes qui se prêtent à cette petite installation.

   Un petit mot de « Pourvu… » En revenant de Mons, je suis passé  chez Conrad® et j’ai acheté une série d’halogènes avec des qualités de lumières différentes, les effets sont intéressants, particulièrement la lumière froide. Je suis néanmoins embêté par les fixations du servomoteur et il n’y avait pas de carter en stock. Je commande donc ça par Internet.

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